Dans le Wadi Rum en Jordanie

Le Wadi Rum est un désert du sud de la Jordanie, c’est une des destinations phare et obligatoire de tout voyage dans ce pays.

 

Au cours d’un voyage en Jordanie en février 2018, nous y sommes allés.

 J’ai sillonné pas mal de déserts en plus de vingt ans de voyage (Iran, Syrie, Israël, Pakistan, Inde, Bolivie,…), mais celui-ci est à part, de par les paysages uniques qu’il offre et  la facilité de le « visiter ».

 

Pour le sillonner, j’ai fait appel à « Wadi Rum Jordan Guide » (ou  « Wadi Rum Bedouin Friends »), conseillé par mon ami « globecroqueur » Philippe Bichon, merci à lui !

 

Voici le récit de cette immersion inoubliable dans le désert du Wadi Rum.

 


Le récit de 2 jours en plein désert

Le village de Wadi Rum

Nous arrivons en taxi depuis Petra, bien entrainés par 3 jours de rando dans le site. Nous arrivons en milieu d’après-midi, il faut d’abord aller au centre des visiteurs pour montrer le « Jordan Pass », si vous ne l’avez pas il faudra payer l’accès au site. Dès le "visitor center", nous sommes abordés par des guides bédouins en quête de clients, c’est pareil au parking de la "resthouse", notre chauffeur de taxi les éloigne en disant que nous sommes avec Atallah, tout le monde semble se connaitre au village, Atallah semble jouir d’un certain respect de la part de ses collègues.

 

L’arrivée au village est déjà sympa, les paysages et les montagnes autour sont superbes, le village est entouré de hautes falaises. Le soleil déclinant les colore joliment. Le village, lui, est assez inesthétique, entre les murs en parpaings, les carcasses de véhicule qui rouillent, les détritus dans  les rues défoncées, les chantiers en cours ou inachevés,… rien de bien attrayant.

 

Quelqu’un vient nous chercher en 4x4, c’est Difallah et sa petite fille, nous nous rendons chez Atallah son frère,  Maïva, une jeune compatriote nous accueille gentiment, ainsi que son chien Wadi.

 

C’est parti, nous montons dans un 4x4 qui a déjà bien vécu, avec Difallah et Ayman, un jeune de 17 ans (et demi, il y tient !). Nous nous arrêtons dans l’épicerie du village pour des derniers achats et sortons du village, directement dans le désert, yallah !

Nous sommes heureux de quitter la civilisation.

 

Au village

A la belle étoile

Le courant passe de suite avec nos guides, ils sont souriants et joyeux. Nous nous arrêtons à la source de Lawrence d’Arabie, on boit une eau  qui vient du sommet de la montagne, devant nous, la plaine a été le décor du film de Lawrence d’Arabie. Le soleil se couche, nous nous éloignons du village, vers des paysages somptueux, et ce n’est que le début de l’émerveillement.

 

Difallah nous demande si nous aimons marcher, je lui réponds que nous adorons, on va être servis ! Il s’arrête et nous laisse avec Ayman, lui continue jusqu’au bivouac pour le préparer pendant que nous marcherons pour le rejoindre.

 

De suite nous voyons qu’Ayman est un bon marcheur, il est jeune et va vite, moi je ne veux pas aller à son rythme et m’arrête pour contempler le paysage et prendre des photos, en plus, marcher vite sur du sable mou…

 

En tout cas, d’entrée, les paysages sont somptueux, il n’y a plus personne et aucun bruit.

 

Nous arrivons au bivouac, Difallah a installé nos matelas contre une paroi pour en faire un canapé, on s'installe, quelle vue ! Le soleil est couché mais il fait encore assez claire, le feu est allumé, le bois mort qui brule sent très bon. Ayman nous sert le bon thé bédouin, le « whisky bédouin » comme ils disent !

 

Difallah a cuisiné à la lueur de la frontale à l’arrière du 4x4.

Nous piochons chacun dans le grand plat avec nos cuillères, en rajoutant du yaourt.

 

Ensuite c’est le temps du chai (thé) autour du feu, à discuter tous les 4, un bon moment d’échange où nous parlons de nos vies, où Difallah nous sort aussi toutes les expressions françaises qu’il connait, plus ou moins argotiques/salaces ! Ce soir il y a de l’émotion et du rire autour du feu.   

 

Il est temps d’aller dormir, nous installons nos matelas en hauteur, sur une sorte de terrasse naturelle avec vue (et quelle vue !), les étoiles sont au rendez-vous, même les étoiles filantes, le spectacle est superbe depuis nos matelas. Dans la nuit je me réveille, la lune s’est levée et elle illumine le désert autour de nous, je contemple, je me rendors en regardant le paysage à la lueur de la lune, une des plus belles nuits de ma vie de voyageur !

Dès la sortie du village

Notre première marche au coucher du soleil

Notre bivouac

Ayman

 

Le campement


Une belle journée de marche

Je suis réveillé le premier, je regarde le soleil se lever, quel beau spectacle, petit à petit le soleil illumine le décor autour de nous, la lumière est superbe. Petit à petit, Difallah, Ayman et Fanny sortent de leur sommeil. Après un bon petit déjeuner, nous partons avec Ayman à pied, alors que Difallah range le camp et part avec le 4x4, nous le retrouverons plus loin pour le déjeuner.

Le lever du soleil depuis notre bivouac

Difallah part de son côté

Le soleil tape déjà fort à 10h et Ayman marche vite, il a la pêche d’un jeune homme en pleine santé. Ça ne m’empêche pas de prendre des photos et de marcher à mon rythme, ça le force à ralentir. La journée de marche va être longue, pour notre plus grand plaisir.

 

En chemin, nous alternons entre sable mou, sable dur et rocaille, entre sable fin et sable grossier, la couleur du sable change régulièrement, du rouge au blanc en passant par toutes les palettes de jaune, orange et ocre.

 

Nous voyons des traces d’animaux, je demande à Ayman ce que c'est, ce sont juste des traces de chiens (de nomades) ou de chèvres, la déception. Plus loin, nous croisons quelques traces de renard des sables et de dromadaires et beaucoup de traces de lézards. Parfois nous quittons le sable pour passer dans des siqs (défilés) étroits, là il faut faire un peu de grimpette, il faut s’aider des mains, ce qu'on appelle le "scrambling". Ayman est juste chaussé de tongs, il galope comme un cabri.

 

Nous retrouvons Difallah qui cuisine à l’arrière du 4x4 (il est cuisinier de métier), nous nous posons sur les matelas, contre une paroi rocheuse, à l’ombre, à déguster un jus de fruits bien frais, il fait chaud, ça fait du bien ! Après avoir mangé, c’est la pause sieste, Fanny tente de photographier un oiseau, moi je somnole devant le paysage, on récupère un peu avant de reprendre la marche. Yallah !


Dromadaire et renard


Grimpette dans les siqs

La magie du désert

Nous reprenons donc notre marche dans le désert, alternant toujours le sable et les passages aériens dans les étroits siqs. Nous sommes seuls depuis hier soir, nous n’avons croisé personne d’autre.

 

Ayman nous montre des points d’eau pour abreuver les animaux, l’eau est récupérée par le ruissellement de la pluie entre deux parois rocheuses, dans des trous creusés et murés. L’eau est croupie, de couleur noire ou verte suivant les lieux. Au second que nous croisons, Ayman récupère de l’eau, pour la boire,  à notre grande stupeur !  L’eau croupie a une couleur verte, il nous en propose, je lui dis que si on en boit, on va direct à l’hôpital quelques heures ou quelques jours plus tard ! Nous qui croyions que ça ne servait qu’aux animaux, mais bon, lui est né dans le désert (et y vit), son organisme est blindé, pas le nôtre.

La magie du désert

En milieu d’après-midi, nous rejoignons Difallah devant une grande arche naturelle : l’arche d’Umm Fruth, il y a une tente avec un bédouin qui nous offre le thé, ça fait du bien, je grimpe sur l’arche, c’est assez impressionnant. Le lieu est connu, des 4x4 chargés de touristes tous beaux tous propres arrivent de temps en temps, le temps d’un thé et d’une photo souvenir.

 

Maïva (que nous avons rencontrée au QG de l’agence) nous rejoint avec un couple de français. Ils commencent juste leur séjour dans le Wadi Rum, nous les laissons avec Difallah, nous reprenons la marche avec Ayman.

 

Nous croisons un berger avec son troupeau de chèvres et un bébé dromadaire et même un troupeau de dromadaires sans gardiens, ils s’éloignent à notre approche, un peu farouches. Nous commençons à collecter du bois mort venant des quelques arbustes qui parfois ponctuent le paysage, pour le feu de ce soir. Difallah nous rejoint en 4x4 pour récupérer le bois et pour laisser Stéphane et Émilie, nos nouveaux compagnons de marche.

 

Nous arrivons au campement des parents d’Ayman, il doit nourrir les chèvres, ses parents sont au village pour s’approvisionner. Il nous raconte que les bédouins ont de plus en plus de mal à nomadiser, l’eau est de plus en plus rare, ils ne peuvent pas trop s’éloigner du village. Les troupeaux ont de plus en plus de mal à se nourrir à cause de la sécheresse.

l’arche d’Umm Fruth


Le campement des parents d’Ayman

Coucher de soleil

En marchant, nous faisons connaissance avec nos nouveaux compagnons, ils sont de Castres, ils sont sympas et le courant passe bien, je retrouve l’identité et l'accent « sud-ouest » que j’aime tant.  Le jour décline mais nous commençons à grimper un étroit siq, la vue d’en haut est superbe, nous restons en contemplation, encore un beau spectacle, nous sommes gâtés en Jordanie !

 

La redescente est raide, comme d’hab, mais la fin de la marche est proche, nous on marche depuis 8h et demi ce matin, on commence à être rincés. Le soleil darde ses derniers rayons sur les falaises roses, les rares nuages d’altitude s’embrasent de rouge, un dernier baroude d’honneur du soleil avant la nuit.


Encore un bivouac de rêve

Nous arrivons au bivouac, encore un endroit de rêve, dans un abri naturel, une cavité à flanc de parois. Difallah prépare le diner et se retire un peu pour faire sa prière du soir.

 

Atallah, son frère,  est là aussi, il va manger avec nous. Nous passons un très agréable moment de partage autour du plat et du bon thé. Mais la journée a été longue, nous avons beaucoup marché, nous partons avec les matelas sur notre terrasse naturelle avec vue, le spot que Fanny avait remarqué en arrivant au campement. Nous nous endormons sous les étoiles, bercés par le silence du désert.  

 

La lune se lève dans la nuit, comme la veille, pas besoin d’une frontale pour se déplacer, on y voit presque comme en plein jour.

Notre campement

Encore un beau bivouac


Retour à la civilisation

Je me réveille le premier, je regarde le lever du soleil, je grimpe dans les rochers pour avoir de meilleures vues sur les alentours, c’est un moment magique que je savoure. Le sable rouge, prend une teinte éclatante avec le soleil levant, un beau contraste avec les arbustes gris.

 

Après le petit déjeuner, il est temps pour nous de partir, le cœur gros. Difallah va nous ramener en 4x4 au village où nous attend notre taxi pour aller à la frontière israélienne, ce soir nous serons au bord de la Mer Morte à Ein Gedi, une autre ambiance. Mais avant nous profitons des derniers instants d’échanges, de contemplation et de silence dans le désert.

 

Aujourd’hui ce sont nos deux compatriotes qui vont être guidés par Ayman, les chanceux.

 

Nous  quittons tout le monde non sans une certaine émotion, ces 2 jours nous ont laissé un souvenir impérissable, je dirais même plus, inoubliable !

Petit dej avec vue !

Quelques mots sur « Wadi Rum Jordan Guide »

Quand je fais de la pub, c’est vraiment que j’ai aimé, et je n’ai pas été payé pour passer de la brosse à reluire, c’est de la pub gratuite !

 

Nous avons voulus prendre deux guides pour pouvoir marcher, pendant que nous marchons avec un, l’autre s’occupe de l’intendance, du campement. Nous avons aussi voulus dormir à la belle étoile, pour être au plus près de la nature, des éléments, pour contempler les étoiles, pour être à l’affut des moindres bruits du désert. Parce que c’est dans notre philosophie et mode de vie, nous aimons ça, nous adorons et vénérons la nature, mais aussi pour ne pas promouvoir la construction des camps à touristes.

 

Je recommande vraiment les deux guides que nous avons eu, Difallah et Ayman, ils sont agréables, compétents et complémentaires.

 

« Wadi Rum Jordan Guide » est une agence locale familiale dont le boss est Atallah, ses frères travaillent avec lui, à temps complet ou partiellement (comme Difallah).

 

Ils ne laissent rien derrière eux, tout est propre après leur passage. Cette agence milite pour sauvegarder le désert, éviter que le tourisme de masse ne dénature le site et le pollue. De plus en plus de camps « en dur » (ou bétonnés) avec tout le confort (douches et toilettes),  se construisent, polluant visuellement et concrètement le désert. C’est un site unique et un mode de vie ancestral qu’il faut préserver.

 

Bonne continuation à eux !

Choukran à nos deux guides Difallah et Ayman

Sur le chemin du retour, vers le village

N'hésitez pas à me contacter pour plus d'informations ou pour partager votre propre expérience. Et pour plus de photos c'est ici, ainsi qu'un article sur Petra!

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Commentaires: 23
  • #1

    Sab (mardi, 27 mars 2018 21:23)

    Exactement le genre de paysage que j’adore ! Ou tu te sens seul au monde et où rien d’autre ne compte à part profiter du moment présent... on ne se lasse pas de ces paysages !!!
    Biz

  • #2

    selamat jalan (mardi, 27 mars 2018 22:40)

    Seul au monde dans des paysages à couper le souffle, des moments magiques!
    Bises

  • #3

    Verdie (mercredi, 28 mars 2018 18:32)

    Nous avons séjourné en Jordanie en 2012, et nous sommes restés deux jours dans ce désert. Ce fût un émerveillement total.

  • #4

    selamat jalan (samedi, 31 mars 2018 09:29)

    Je ne peux qu'être d'accord avec vous, c'est une expérience unique, comme vous dites, un émerveillement total !

  • #5

    VERDIE (lundi, 02 avril 2018 20:56)

    Pour aider les jordaniens, allez dans ce merveilleux pays. Vous n'aurez aucun problème de sécurité. Les jordaniens sont très gentils. Sur nous y reviendrons avec beaucoup de plaisirs.

  • #6

    Viviane (jeudi, 12 avril 2018 10:40)

    Magnifiques paysages!! C'est un de mes rêves de visiter la Jordanie..
    Je compte y aller 2 semaines fin septembre. Est-ce facile et sûre de voyager seule?
    Belle journée

  • #7

    selamat jalan (vendredi, 13 avril 2018 08:59)

    Bonjour Viviane,
    N'hésitez pas à y aller, c'est un pays sûr et facile à voyager, les jordaniens sont très accueillants et toujours prêts à aider!

  • #8

    patrick (lundi, 17 décembre 2018 09:22)

    Bonjour,
    Je rentre de 3 semaines de Jordanie où j'ai sillonné le pays du nord au sud, d'est en ouest, parcourant 36 sites sur les 40 du jordan pass et le wadi rum fût pour moi le wadisney.
    Parce qu'on vous trimbale sur une distance de 20 km de long sur 10 km de large où sont dispersés les siqs, dunes, arches, que nombreux sont les anciens nomades devenus guides à être complètement blasés, que les innombrables traces de roues de 4x4, le plastique, enlève toute spiritualité au site malgré la beauté naturelle des lieux. C'est devenu un parc d'attraction et dieu sait que les gens les aiment.
    Vous serez rarement seuls sur les points d'intérêts, on a eu droit au perturbateur de silence muni de leur drone, aux rigolos montrant leurs fesses en haut d'une arche et j'en passe.
    Ce qui a sauvé mon séjour est le dernier jour et la dernière nuit où nous sommes partis seuls avec nos sacs, tentes en autonomie, on a retrouvé un peu de magie, croisés des animaux malgré le les fréquents 4x4.
    Tout ça n'enlève rien à la magie de la Jordanie dans son ensemble, à la bienveillance de sa population dont j'ai pu mesurer l'attention à travers le stop et leur aide.
    Bon voyage à tous.

  • #9

    selamat jalan (lundi, 17 décembre 2018 11:06)

    bonjour Patrick,
    c'est dommage en effet d'avoir vécu tout cela au Wadi Rum, nous avons sûrement eu de la chance car nous étions seuls partout où nous allions (en février), à votre place j'aurais été aussi bien déçu mais nous n'avons pas vécu la même chose. Nous, nous avons marché et bivouaqué dans des lieux magnifiques, seuls, sans bruit, sans nuisances. Mais il est vrai, comme je le dis dans l'article, qu'il faudrait réglementer l’accès au désert, ne plus construire de camps en dur avec douches (si tu veux vivre le désert il faut faire des efforts), ne pas faire n'importe quoi en 4x4 et éduquer les guides et les touristes sur les déchets, sinon en effet cela deviendra invivable et le désert perdra de son charme et de son attrait.

  • #10

    severine (mardi, 30 juillet 2019 09:54)

    Bonjour selemat jalan,
    est-il possible de faire de wadi rum avec des enfants de 14 et 12 ans?

  • #11

    selamat jalan (mardi, 30 juillet 2019 21:59)

    Bonjour Séverine,
    bien sûr qu'il est possible de faire le wadi rum avec des ados, il y en a pour tous les goûts et pour tous les conforts!

  • #12

    Nadaud (mercredi, 21 août 2019 20:29)

    Bonjour,
    Nous sommes intéressés par ce genre d'exursion dans wadi run. Seulement nous sommes deux filles, est ce que cela pose un problème ? Pense tu que cela est dangereux ?
    Merci d'avance
    Sarah

  • #13

    selamat jalan (mercredi, 21 août 2019 21:00)

    Bonjour Sarah,
    d'après moi vous ne risquez pas grand chose, les jordaniens sont respectueux, surtout les guides de "Wadi Rum Jordan Guide", mais si vous voulez être plus rassurées, demandez à vous joindre à d'autres touristes.

  • #14

    Sarah (mercredi, 21 août 2019 21:08)

    Merci beaucoup pour ta réponse rapide. Vu le nombre d'avis positifs et vu la présentation que tout le monde en fait nous nous y voyons vraiment, nous les avons contacté. Merci beaucoup
    Sarah

  • #15

    selamat jalan (mercredi, 21 août 2019 22:04)

    De rien, avec plaisir et bonne préparation, la Jordanie est un pays fascinant!

  • #16

    Émilie (samedi, 01 février 2020 23:20)

    Magnifique!
    Nous allons y aller en février également et dormir à la belle étoile. Vous n’avez pas eu trop froid ?

  • #17

    selamat jalan (dimanche, 02 février 2020 19:00)

    Merci!
    Non nous n'avons pas eu froid, avec de grosses couvertures!
    Bon voyage!

  • #18

    patrick (dimanche, 16 février 2020 15:51)

    Sympas le blog
    une petite question, est ce que les matelas pour le bivouac sont un minimum confortable ?( car mon dos n'est pas de premiere jeunesse )

    Merci


  • #19

    selamat jalan (dimanche, 16 février 2020 21:14)

    Merci Patrick!
    Oui les matelas sont confortables, nous avons très bien dormi!

  • #20

    Manu (mercredi, 26 février 2020 22:53)

    Je m'interroge sur les bêtes pendant le bivouac, la nuit surtout... Serpents, scorpions....
    Si on doit aller faire pipi la nuit...
    C'est réalisable?
    Merci de votre réponse

  • #21

    selamat jalan (jeudi, 27 février 2020 19:18)

    Salut Manu,
    ma femme a la phobie des serpents, on a rien vu (pour son plus grand plaisir!), même pas de scorpions!

  • #22

    Manu (dimanche, 08 mars 2020 09:25)

    Merci beaucoup de ta réponse!
    Encore une question stp:
    Je suppose que nous ne prenons uniquement le strict nécessaire pour les 2 jours (nos sacs à dos restent dans la voiture que nous aurons loué..)?
    Y-a-t-il assez à boire et manger?
    Nous partons avec nos 2 grands ados 15 et 17 ans...
    Merci d'avance

  • #23

    selamat jalan (lundi, 16 mars 2020 08:34)

    Oui, il faut prendre le strict nécessaire, on avait laissé les sacs à dos au local de "Wadi Rum Jordan guides".
    Il y a assez à manger, par contre vous pouvez emporter quelques bouteilles d'eau.